Terre sauvage et isolée, un tiers de la superficie de l'Alaska est situé au-delà du cercle polaire arctique. Les poissons sauvages y vivent leur cycle de vie naturel en eaux froides et se nourrissent d'une alimentation marine naturelle. La qualité de leur chair s'en fait l'écho. Les zones de pêche s'y trouvent à l'écart de toute autre zone d'activité humaine, et les usines de transformation ne sont jamais bien loin. Les pêcheries d'Alaska sont gérées de façon à être protégées de la surpêche, de la dégradation de l'habitat et de la pollution, grâce notamment à une limitation du nombre de pêcheurs au respect de quotas. L'interdiction de l'élevage y fait également loi. De mai à octobre, le saumon quitte l'océan Pacifique pour rejoindre sa rivière natale lorsqu'il est bien en chair et vigoureux. Il est pêché à la ligne, à la senne (encerclé à la surface de l'eau avec un filet de pêche), au filet maillant... Quant au colin d'Alaska, il est pêché de fin janvier à début avril puis de juin à octobre au chalut pélagique, filet en forme d'entonnoir, sans contact avec le fond et adapté à la pêche en pleine mer, le plus souvent par de petits bateaux de pêcheurs. 

Ces œufs de saumon Caspian Tradition, pêchés en Alaska, se dégustent sur des toasts, blinis ou sushis, des salades ou entrées, associés à du saumon fumé par exemple, sur des œufs, ou en finition d'assiettes de la mer.